Céline Musmeaux est ce que l’on appelle communément un zèbre, une surdouée. Son extrême sensibilité lui permet de ressentir de fortes émotions qu’elle retransmet à travers ses romans. Ce don lui permet d’écrire avec facilité un livre par mois.
Pour mettre en valeur sa prolixité, nous nous sommes amusés à comparer Céline Musmeaux aux écrivains français les plus prolifiques. En voici les résultats :
- Alexandre Dumas : 21 088 915 mots (Connu pour avoir utilisé 45 prête-plumes – L’express, article de 2002 )
- Emile Zola : 6 213 563 mots
- Céline Musmeaux : 5 865 562 mots (après « Une place pour moi »)
- Victor Hugo : 5 459 443 mots
- Honoré de Balzac : 5 247 410 mots
- Chateaubriand : 4 005 364 mots
Dans plusieurs livres, elle parle en profondeur du harcèlement scolaire dont elle a été victime durant sa scolarité. D’ailleurs, elle est en contact avec Nora Fraisse, la présidente de « Marion la Main tendue » qui a lu ses romans.
Les thèmes abordés par Céline Musmeaux sont les problématiques de notre époque contemporaine :
Harcèlement, cyber harcèlement, vie après harcèlement, phobie scolaire. Famille mono parentale, famille recomposée, Frontière amour-amitié. Maltraitance. Pression parentale, prise d’indépendance. Accident de la route, accident de la vie. Clichés : intello, sportif, geek, garçon manqué, etc. Reconstruction, résilience, seconde chance. Violence, délinquance. Violence contre les femmes, viol. Manque – perte de confiance en soi. Réalisation de ses rêves. Mal-être, suicide, mal-être par rapport à son corps, fuite. Sports extrêmes, comportements dangereux. Rivalité, jalousie. Maladie, mort, deuil. Emprise, tromperie, mythomanie, manipulation. Triangle amoureux, amour interdit. Divorce, mobilité géographique. Amour virtuel, amour à distance. Pardon, délivrance.
Merci au travail précieux d‘Arvensa Edition qui publie en numérique les oeuvres complètes de ces auteurs et qui nous ont permis de faire ce calcul.